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Je saute, je tombe, je descend vers le sol, je m'écrase... Je suis là, étendu sur la route, je ne peux plus bougers... Je ne peux ni bouger mes bras, ni ma tête ni mes jambes, mais je sents mon torax qui s'élève et se replie, je respire, puis je découvre aussi que mes yeux aux aussi peuvent bouger... Alors je regarde l'immeuble, celui où j'avais pris l'initiative, j'ai regardé dans ma trousse de secours mais rien, alors je me suis tourné vers la fenêtre de la salle de bain que j'ai longtemps contemple avant de l'appeller et de lui dire au revoir... J'ai alors pris la décision qu'il était temps de ne faire plus qu'un avec l'air alors j'ai sauté... en effet le treisième étage frappe moins que ses paroles pleines d'amour passé, je regarde alors mon corps, étendu, brisé, posé tel une marionnette sur un drap rouge de sang, un drap si rouge que mon corps y flottait, mes deux bras étaient écartés et mes jambes se superposées, de vis que mon visage était fracturé, ainsi que mes jambes et mon dos qui s'étaiot retrouvé eparpillé tel un puzzle d'un milliard de pièce que même le plus grand expers en la matière ne reconstituerai jamais... Mes yeux virent au loin, à l'opposé de mon appartement des morceaux de verre brisés, je me suis alors demandé si mon dos s'était retrouvé dans cet état, mais ce qui était sur c'est que mon coeur ressemblait à ces bouts de verre, ils était solide et beau, transparents puis un objet l'a traversé et l'a brisé pour le faire s'écrouler au sol tel un vulgaire vase en porcelaine... Un instant plus tard en essayant de bouger mon bras je me suis rendu compte qu'il pouvait bouger, tout comme mes jambes propres et sans plaie, mon visage n'avait rien si ce n'est des larmes qui se mirent à couler quand je la vis approcher dans sa voiture en agonisant, elle s'arrêta à coté de moi, descendit de sa voiture et se rapprocha en titubant, elle me regardait, j'étais assis sur le goudron, étourdis et étonné de voir que je n'avais rien, elle s'approcha en larmes, elle me regarda, je me levai et je me suis aussi mit à marcher vers elle, elle ne me regarda plus, elle regarder mes jambes en pleurant de plus en plus, elle ne semblait pas heureuse de me voir, je me suis abaissé pour être dans son champe de vision et je lui ai demandé: "Regarde je suis là!" et puis je me suis mit à regarder son regard intense mais terrifié, et j'ai alors remarqué que son oiel ne me regardait pas mais... au plus profond de moi... elle regardait mon coeur à présent... non, ce n'était ni moi, ni mon coeur, ni mon intérieur,... Elle s'avança sur le côté et s'approcha de mon dos... Je l'ai suivi des yeux quand je vis le sang... un corps, brisé par la mort, baignat dans sa vie qui lui avait coulé hors du corps, je me suis alors étonné et je compris que cet homme, c'était moi... Un flash apparu, moi me levant sur moi-même, un moi propre et beau sur un moi brisé et sanglant, sans aucune humanité ni vie... Non, elle ne m'avais pas vu ni entendu, elle ne voyais que ce corps horrible à regarder, mais au moins elle semblait désolé et morte elle aussi... plus morte que moi-même, je courru alors vers ce moi quelques minutes plus tard pour pouvoir le réanimer et la regarder à nouveau dans le blanc des yeux... Impossible! En lui touchant la joue je ne touchais que de l'air, alors je l'ai embrassé sur la joue et elle ressenti un courrant d'air frais lui traverser le visage et elle regarda au loin, derrière moi, derrière mes tripes et mon coeur, elle voyait le bout de la rue et moi le chemin de la vie, ce tunnel ouvert, blanchatre qui n'attendait que moi, je l'ai alors regardé une dernière fois... et je suis allé vers ce tunnel sans elle, sans moi, en abandonnat mon corps à ses mains et mon âme au ciel, je regarde alors autour de moi, je dis au revoir à la vie et à mon Amour... Je me retourne... "Je t'aime" laissa-t-elle échapper et pour ma part ce fut une larme et non une parole que je laissa échapper... Je me mit à sourire, elle m'aime et le portail blanchâtre se ferma....
Excuser moi c morbide mais une chanson m'a inspiré et je voulais raconter cette petite histoire qui me semble être belle et triste...
Please, I asked you to give up, I wanted you to let me live and not you to let me leave this world... I have somthin' to ask... Don't be bad, just listen to me, I have something for you, a beautiful gift, nobody will try to give you such a thing... Nobody will beg you for such a thing... I want you to take my mask because it's more painfull than everything... I swear... I want you take to take it from me and to kill him, for me, because it's already taken everything that I loved from me, It took everything that I cared for... It wanted to make me fell good but it's not the way of the world... I have to be me, I want to have a normal life again... Don't make jokes, with all those "What's a normal life?" stuffs... It's hurtingt me! Take it! I'm weaker than you but I'm not scared because I lost everything and now I don't belong to anywhere... I want you to take this mask... This mask who is trying to protect me... Yep, it protected me for so long but it's about to kill me, and it protected me too much, now I don't need to be protected anymore because I'm taught enough to fight for what I want... It's aweful... Don't... Just do it for me... Don't go! If you go away... I'm gonna kill myself... I'll kill this mask by myself, it will be hard, but it's the way of the world... But I have a question... Why do they call you Death?
Elle était là, seule, elle marchait au milieu de tout et de rien, d'elle même et de la nature tel un papillon qui vit les plus belles choses au monde sans même en être conscient, pourtant ces choses simples et belles sont necessaires à la vie, à vrai dire plus aujourd'hui mais elle se sent légère et laide face à toutes ces merveilles de la nature, pourtant ce n'est pas sans raison que la nature chante ses louanges... les fleurs changent de couleur et se tournent à la vue de son sourire, simple mais beau, les arbres se poussent afin de la laisser s'envoler vers le soleil et la terre s'élève pour lui batir un temple digne de ce nom, pas un temple de pierre, ni de verre... mais un temple de vie. La nature, la vie l'a choisi car elle est nature et vivante, elle est simple et consciente de sa beauté, elle vient de la terre et y retournera quand elle aura ateint le soleil qui ne cesse d'être attiré par son éclat et son sourire majestueux... Elle est enfant de la nature, de la vie mais pourtant elle fut bien longtemps orpheline, elle était de la ville, l'odeur des fleurs butinées, de l'eau qui ruisselle, et du vent qui murmure des mots doux à nos oreilles lui manquaient. A chaque fois qu'elle entrait au parc la nature lui faisiat un acceuil spectaculaire car elle était sa fille, une fille qui malgré tout n'a ni oublié ni renié sa famille, elle, elle n'a pas compris que la technologie marquerait l'avenir de l'homme, non, elle n'a pas compris... Pour elle ce qui marque l'évolution de l'homme c'est la parole, les conversations qu'elle a avec la nature... elle est proche de ses racines,... La nature, elle l'a regrettée, elle aurai aussi voulu dire qu'elle l'aimait mais la nature lui vouait un tel culte qu'elle en rougissait, enfin elle s'asseya dans l'herbe pour la première fois depuis son enfance lointaine... Elle s'asseya dans l'herbe légère et fraiche; au milieu des fleurs, proche de la rive, sous les arbres et le soleil brûlant... dans l'amour, au milieu des sentiments inhumains et beaux, proche de la chaleur terrestre et en dessous de tous sentiments qu'elle ai pu connaitre, qui sous la demande de sa mère, s'envolent sans même regarder cette jeune fille trop longtemps blessée par ce poignard qu'est la société,... et l'amour... le faux... celui qui n'est qu'illusion et espoir... Maintenant elle sentait, ressentait l'amour, le vrai, le plus pénétrant au monde, l'amour de la nature, de la vie qui n'offre ses soins qu'aux plus chanceux et qu'aux privilégiés... Elle ferma les yeux et tomba dans un profond coma, elle tomba au sol, inconsciente, puis dans la rivière, seule,... la Terre la visita, ses maux, ses peines, ses malheurs, et l'image qu'elle avit du bonheur lui fit mal, la Terre ne le supporta pas, elle prit ses sentiments, les explora, et pleura,... le Ciel, la Terre et la Vie se mirent à pleurer ensemble, sans ne plus jamais s'arrêter... La vie serra tellemnt fort les sentiments de la jeune fille, elle serra tellemnt fort ces horreurs qu'elle oublia de lui rendre... Plus tard, voulant lui rendre ses maux elle ne les accepta plus, elle flottait à la surface de l'eau, elle, elle qui voulait monter vers le soleil coula sous la surface de l'eau les yeux fermés, sans même s'en rendre compte elle fut emportée au plus profond, dans les entrailles de la Terre, elle n'eut plus le choix, elle l'avait tué en apprenant ce que le monde était, elle l'a pris dans ses racines, dans sa vie avec sa mort...
La sociéte nous a changé, nous avons rejetté la nature... Elle nous rejette alors maintenant quand nous avons besoin d'elle... Nous sommes des fils indignes, et la nature ne réserve que ses soins au moins égoïstes, le retour à la nature sera bel et bien difficile... Nous la tuons et elle devrait nous aider? Non, elle nous donne la mort parfois et nous lui devons une reconnaissance totale pour cela car nous lui avons fait les pires horreurs au monde... cette mort est un cadeau, même si cette jeune fille ne pensait pas mourir ainsi c'est un cadeau qui la rend heureuse car la nature a compris son mal-être et à donné fin à ses souffrances,... Cette jeune fille le voulait et elle ne fit plus qu'un avec sa mère...
De la naissance jusqu'à la mort elle est elle-même, elle trace son chemin sans se poser de question car elle connait son destin... aucune surprise si ce n'est un soudain changement d'humeur qui changerait sa vie ou encore un geste brusque qui la ferait mourir en une seconde... Elle ne réfléchi pas, elle vit et elle est née des émotions et mourra dans le chagrin ou l'amour, cependant personne ne la remarque quand elle s'entoure d'autres de ses semblables, par contre quand elle est seule elle peut tout provoquer autour d'elle, même un bonheur infini... Malgré sa courte vie elle peut connaître la joie et le malheur mais dans tous les cas elle meurt sur le plus bel endroit qui soit... tes lèvres... J'aimerai être cette larme...
Hasta al cabo... Me quedaré solo... Me quedaré rodeado por todo... Me quederé solo en mi cabeza, solo en mi cabeza aunque la naturaleza me permite envejecirme, me engordo con todos los sentimients que puedo sentir acostandome en el suelo, mirando el sol... Un sonreir... Un beso... Una mirada... Esto basta para que me siente bien, que me siente vivir y vivo, abrazar todos los sentimientos que vuelan como si fueran mariposas que se van subiendo en el aire de la vida interior, este aire de plenitud me salva de tosas mis ilusiones y por mas que quiera no podré tocar a estos, solo les sentiré y les miraré con una gran esperanza que me tomara el cuerpo, y el corazon,... eso es la felicidad que nos entrega el sol, y el aire que trata de hacernos volar, pero no estamos listos, necesitamos saber volar para ayudar este aire que nos hara volar, subirémos poco a poco como estos mariposas que viven con alegria, y como un sentimiento... Somos sentimientos, somos estos caracteres que nos permitiran volar...
Ps: Le "les" n'est pas une faute, je l'utilise comme une figure de style pour comparer les ilusions à des sentiments, à des personnes vraie et pures...
Raison, laisse-moi, va-t-en, ne reviens plus, laisse moi enfin... La vie n'est pas ce que tu crois qu'elle est, la vie n'est ni faite de molécules, ni de personnes, ni d'objets animés,... La vie ce n'est pas ça! Tu me donnes des illusions, tu me piège avec l'aide de ces murs peints aux couleurs du ciel et des arbres, tu m'a toujours fait croire en ces choses qui ne sont pas même si beaucoup y croient... Je veux voir le monde, le vrai, celui qui est invisible et qui est fait d'essences humaines qui se mélangent, de sentiments vrais et profonds, de regards, fait à travers des yeux clairs et non pas à travers des préjugés et des expériences personnelles qui nous donnent des idées faussée sur les gens... Ce monde qui est le plus rëel jamais connu est derrière, derrière ce monde, caché derrière ces murs aux teintes trompeuses qui ne peuvent être touchés sinon effacés par nos coeur et notre innocence, mais les hommes s'accrochent trop au matériel, le solitude leur fait peur, mais il ne voient pas, ils ignorent qu'ils baignent dans un monde où les sentiments peuvent être si forts qu'ils peuvent faire tomber ces murs, l'homme ne veut pas de ce monde, il ne veut que le palpable, ce qui peut satisfaire ses besoins, c'est bien là qu'il se trompe, ce qui peut les satisfaire c'est le fait d'ouvrir ses yeux aux sentiments et aux énergies, d'aimer pour qu'elles nous aiment en retour... Raison, tu ne fais pas mon bonheur...